Les beurres de régime
Le vrai beurre se différencie des catégories allégées et autres par sa composition : sa matière grasse est d’origine laitière et obtenue par baratage de la crème du lait. Apportant environ 82 % de graisses et 7,5 kcal par gramme, il est surtout riche en vitamines A et D. Pourtant, il est concurrencé par les margarines simples ou allégées, ainsi que par les beurres de régime. Les margarines sont pour la plupart plus utilisées pour cuisiner que pour tartiner. Leur apport en graisses est identique à celui du beurre et, contrairement aux idées reçues, les margarines n’aident pas à perdre des kilos en période de régime ou à stabiliser son poids. Vient ensuite la margarine de régime. Pro-activ de Fruit d’Or, par exemple, contient des stérols végétaux qui réduisent le taux du mauvais cholestérol dans le cadre d’un régime adapté. Cette margarine est particulièrement destinée aux personnes ayant un taux trop élevé de mauvais cholestérol ou des problèmes cardio-vasculaires. Des études ont démontré qu’une consommation quotidienne de 20 à 25 g de Pro.activ de Fruit d’Or dans le cadre d’un régime adapté sur une période de trois semaines réduit le taux du mauvais cholestérol de 10 à 15 % en moyenne. Quant au beurre allégé, il fournit environ 41 % de matières grasses. L’inconvénient est qu’il est riche en additifs, tel que le sel.
Conclusion ?
Les faux que nous venons de citer peuvent être une aide certaine pour les personnes suivant un régime alimentaire. C’est ce que confirme le Pr Guy Grand, du Service Nutrition à l’Hôtel Dieu à Paris : " Faux beurres et faux sucres ont une réelle utilité dans le cadre d’une modification globale de l’alimentation. En revanche, consommer de l’aspartame ou du beurre allégé en se disant qu’on va perdre du poids est ridicule ". Donc, que les choses soient bien claires : il faut bien se garder de l’erreur qui consiste à croire qu’il est possible de contrôler son poids en privilégiant ces produits de substitution, surtout si, en parallèle, des erreurs alimentaires sont commises. De même qu’il n’y a aucun intérêt à remplacer le beurre traditionnel par du beurre à 41 % de matières grasses si c’est pour en consommer le double ! Dans ce cas, autant conserver sa consommation de vrai beurre, tout en en diminuant les quantités. Attention, donc, à ne les prendre pour des denrées miracles capables de faire fondre les kilos en trop. En revanche, dans le cadre d’une hygiène alimentaire équilibrée ou d’un régime, ils jouent un rôle non négligeable.
Et pour les diabétiques ? A cette question, le Pr Guy-Grand répond que “ les diabétiques ont tout intérêt à utiliser ce genre de produits, même si le sucre traditionnel n’est pas interdit, dès lors qu’il n’est pas isolé, c’est à dire qu’il s’intègre dans une alimentation équilibrée ”. Bien évidemment, et pour schématiser, il est préférable qu’une personne diabétique consomme une boisson contenant de l’aspartame plutôt qu’un soda tel qu’un Cola.
Dernière précision concernant les faux sucres : “ ils sont une solution accessoire pour les personnes aimant les saveurs sucrées ”, et ne pouvant pas se passer de sucre dans leur café ! Ni miraculeux, ni nocifs, faux sucres et faux beurres peuvent faire la différence avec les traditionnels dès lors qu’ils sont intégrés dans une alimentation équilibrée et conseillés aux personnes ayant une prescription médicale particulière.
A noter : s’ils sont consommés en excès, les sucres-alcools peuvent entraîner des troubles digestifs. A cet effet, une mention est inscrite sur les étiquettes afin de prévenir le consommateur. Concernant l’aspartame, prise en trop grande quantité, elle peut devenir toxique, comme toutes les denrées alimentaires ordinaires (saccharose, sel, vitamines...).
Le vrai beurre se différencie des catégories allégées et autres par sa composition : sa matière grasse est d’origine laitière et obtenue par baratage de la crème du lait. Apportant environ 82 % de graisses et 7,5 kcal par gramme, il est surtout riche en vitamines A et D. Pourtant, il est concurrencé par les margarines simples ou allégées, ainsi que par les beurres de régime. Les margarines sont pour la plupart plus utilisées pour cuisiner que pour tartiner. Leur apport en graisses est identique à celui du beurre et, contrairement aux idées reçues, les margarines n’aident pas à perdre des kilos en période de régime ou à stabiliser son poids. Vient ensuite la margarine de régime. Pro-activ de Fruit d’Or, par exemple, contient des stérols végétaux qui réduisent le taux du mauvais cholestérol dans le cadre d’un régime adapté. Cette margarine est particulièrement destinée aux personnes ayant un taux trop élevé de mauvais cholestérol ou des problèmes cardio-vasculaires. Des études ont démontré qu’une consommation quotidienne de 20 à 25 g de Pro.activ de Fruit d’Or dans le cadre d’un régime adapté sur une période de trois semaines réduit le taux du mauvais cholestérol de 10 à 15 % en moyenne. Quant au beurre allégé, il fournit environ 41 % de matières grasses. L’inconvénient est qu’il est riche en additifs, tel que le sel.
Conclusion ?
Les faux que nous venons de citer peuvent être une aide certaine pour les personnes suivant un régime alimentaire. C’est ce que confirme le Pr Guy Grand, du Service Nutrition à l’Hôtel Dieu à Paris : " Faux beurres et faux sucres ont une réelle utilité dans le cadre d’une modification globale de l’alimentation. En revanche, consommer de l’aspartame ou du beurre allégé en se disant qu’on va perdre du poids est ridicule ". Donc, que les choses soient bien claires : il faut bien se garder de l’erreur qui consiste à croire qu’il est possible de contrôler son poids en privilégiant ces produits de substitution, surtout si, en parallèle, des erreurs alimentaires sont commises. De même qu’il n’y a aucun intérêt à remplacer le beurre traditionnel par du beurre à 41 % de matières grasses si c’est pour en consommer le double ! Dans ce cas, autant conserver sa consommation de vrai beurre, tout en en diminuant les quantités. Attention, donc, à ne les prendre pour des denrées miracles capables de faire fondre les kilos en trop. En revanche, dans le cadre d’une hygiène alimentaire équilibrée ou d’un régime, ils jouent un rôle non négligeable.
Et pour les diabétiques ? A cette question, le Pr Guy-Grand répond que “ les diabétiques ont tout intérêt à utiliser ce genre de produits, même si le sucre traditionnel n’est pas interdit, dès lors qu’il n’est pas isolé, c’est à dire qu’il s’intègre dans une alimentation équilibrée ”. Bien évidemment, et pour schématiser, il est préférable qu’une personne diabétique consomme une boisson contenant de l’aspartame plutôt qu’un soda tel qu’un Cola.
Dernière précision concernant les faux sucres : “ ils sont une solution accessoire pour les personnes aimant les saveurs sucrées ”, et ne pouvant pas se passer de sucre dans leur café ! Ni miraculeux, ni nocifs, faux sucres et faux beurres peuvent faire la différence avec les traditionnels dès lors qu’ils sont intégrés dans une alimentation équilibrée et conseillés aux personnes ayant une prescription médicale particulière.
A noter : s’ils sont consommés en excès, les sucres-alcools peuvent entraîner des troubles digestifs. A cet effet, une mention est inscrite sur les étiquettes afin de prévenir le consommateur. Concernant l’aspartame, prise en trop grande quantité, elle peut devenir toxique, comme toutes les denrées alimentaires ordinaires (saccharose, sel, vitamines...).
